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Évolution historique des modèles cognitifs d'enseignement-apprentissage des langues
Version en date du 17 décembre 2019.
016_Evolution_historique_modeles_cogniti
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Version en date du 10 janvier 2017

Correction d'une coquille très regrettable dans la colonne "Paradigme" du modèle de l'interaction: "Parler une L2 c’est simultanément penser et communiquer en L2." (en non "communiquer en L1").

 

Version en date du 23 janvier 2017

- Changement, dans toutes les premières cases des colonnes, de "Parler une L2, c'est..." par "On apprend à parler une L2 en..."

- Réécriture de la définition du modèle de l'action et du commentaire correspondant (n° 6).

- Ajout en note p. 3 de la référence au "modèle allostérique" d'André GIORDAN.

 

Version en date du 15 octobre 2018

L'énoncé du paradigme cognitif du modèle de la pro-action est énoncé d'une manière à la fois plus simple et plus exacte: "On apprend à parler une L2 en participant au projet collectif d’enseignement-apprentissage et à des projets pédagogiques."

 

Version en date du 17 décembre 2019

-Remplacement de "postulat didactique" par "prémisse didactique": à partir du moment où on s'appuie sur une théorie, un modèle théorique ou un modèle praxéologique (cf. 2015a, pp. 15-17), on suppose en effet que l'affirmation que l'on fait ou la position que l'on prend sont déjà validées scientifiquement ou empiriquement (cf. Document 047 pour la définition de "postulat" et de "prémisse").

- Remplacement de l'appellation du dernier modèle cognitif, "action", par "(pro-)action" : il s'agit ici d'action sociale, pour laquelle le type d'action de référence est le projet, dont le modèle cognitif spécifique est la pro-action. Mais pour l'action sociale d'apprentissage, les acteurs peuvent être amenés à mobiliser n'importe lequel des modèles cognitifs. En ce sens, le modèle de l'action, lorsqu'il concerne l'apprentissage, est un "méta-modèle" cognitif.


Note en date du 29 mai 2017

 

Éclectisme et complexité

 

On trouvera dans mon article 2013j intitulé "Un rapport de l’inspection générale de l’éducation nationale sur l’évaluation des enseignants, ou le syndrome du réverbère",  chapitre 2.1, pp. 21-23, la référence aux deux modèles disponibles pour gérer la relation entre théories et modèles en pédagogie et en didactique - le modèle de l'éclectisme - encore compatible avec le paradigme d'optimisation lorsqu'on recherche l'articulation et/ou la combinaison "idéale" de modèles cognitifs différents- et le modèle de la complexité, qui correspond au paradigme de l'adéquation : dans ce dernier paradigme, les articulations et/ou combinaisons doivent forcément varier de manière à s'adapter aux différents environnements d'enseignement-apprentissage).

Voir aussi l'article "Éclectisme et complexité en didactique scolaire des langues étrangères", www.christianpuren.com/mes-travaux/1998b/.